Stop aux toxiques

La FRANCE est à ce jour l’un des premiers pays utilisateurs de pesticides : le plus gros consommateur en Europe en volume, le quatrième au niveau mondial.

 

L’utilisation de ces produits qui agissent sur les organismes vivants, la santé humaine (applicateurs et consommateurs) et l’environnement fait nécessairement débat, alors que les études se multiplient pour dénoncer leur caractère cancérigène, mutagène, reprotoxique ou encore neurotoxique.

 

Le phénomène est de taille : la plupart des céréales contiennent des résidus de pesticides à des quantités suffisamment inquiétantes pour un consommateur qui s’alimentera par ailleurs des fruits et légumes également infectés par cette pollution.

Chaque année, en dépit des alertes sanitaires, ce serait donc un grand nombre de pesticides cancérigènes qui se verraient octroyer une autorisation de mise sur le marché ("AMM"), ce qui pose la question de la responsabilité des services de l’Etat qui accepteraient d’homologuer en connaissance de cause des substances létales ou à tout le moins nuisibles et dommageables pour la santé humaine.

 

Face aux lobbys de l’industrie chimique et la complicité coupable des pouvoirs publics, seule une plainte fédérant des milliers de citoyens est à même de stopper le recours massif aux pesticides.

 

Plainte citoyenne a décidé de porter plainte pour administration de substances nuisibles et empoisonnement, afin de mettre en lumière toutes les responsabilités, tant des entreprises de l’industrie chimique qui commercialisent les pesticides que celles des agences de l’Etat qui les ont homologuées. [Lire la plainte]

 

 

Face à l’enjeu sanitaire, joignez une plainte de milliers de citoyens.

L'accès et la participation aux actions de l'association sont totalement gratuits.

Parlez-en autour de vous, plus nous serons nombreux, plus nous serons efficaces.

Logo de l'association Plainte citoyenne création Becomes.fr ©2017

Chaque année, en dépit des alertes sanitaires, ce serait donc un grand nombre de pesticides cancérigènes qui se verraient octroyer une autorisation de mise sur le marché ("AMM"), ce qui pose la question de la responsabilité des services de l’Etat qui accepteraient d’homologuer en connaissance de cause des substances létales ou à tout le moins nuisibles et dommageables pour la santé humaine.